Boyomo Williams la nouvelle recrue de DRAGON DE YAOUNDE pour la saison 2023-2024 – Un virevoltant milieu de terrain BOX TO BOX qui a des passes limites et des récupérations de classe donne la lumière en MTN ELITE 1
NOM/NAME : BOYOMO ONGUETOU
PRENOM/ SURNAME : WILLIAMS KEVIN
DATE DE NAISSANCE / DOB : 29.11.1998
TAILLE /HEIGTH : 1M85
POIDS/ WEIGTH : 78 KGS
NATIONALITE /NATIONALITY : FRANÇAIS
SPORT/SPORT : FOOTBALL
POSTE /POSITION : MILIEU DE TERRAIN
STATUT / STATUT : PROFESSIONNEL
DERNIERE EQUIPE / LAST TEAM : DRAGON CLUB YAOUDE
2022-2023 : DRAGON CLUB YAOUNDE LOAN (Cameroun)
2022-2023 : STADE DE DJOUM (Cameroun)
2021-2022 : SENTINELLE FC (France)
EQUIPE NAT / NATIONAL TEAM CAPS : 12
LAST SEASON NBR OF GAME : 12M/19
LAST SEASON NBR OF GOAL : 03 GOAL
LAST SEASON AWARD : BEST MIDFIELDER IN MTN ELITE 1
L’obtention des fonds FIFA Forward est soumise au respect de plusieurs critères.
La FIFA va lancer la 3e phase de son programme FIFA Forward visant à soutenir les activités de ses 211 associations membres. Le programme FIFA Forward 3.0 commencera au courant de ce mois janvier et s’étendra sur un cycle de 4 ans jusqu’en 2026.
A l’image de toutes les autres associations membres, la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) pourra recevoir jusqu’à 8 millions USD pour le financement de ses projets et de ses coûts opérationnels. Une enveloppe en augmentation comparée aux 3,9 millions USD alloués en 2016 lors du lancement de l’initiative par Gianni Infantino. L’obtention des fonds FIFA Forward est soumise au respect de plusieurs critères. Notamment l’organisation sur le plan national et/ou régional des compétitions de football féminin, de football jeunes, de beach soccer; ou la présentation d’un projet de construction d’une infrastructure de football
Des activités qui ont progressivement vu le jour sous le mandat de Seidou Mbombo Njoya et se poursuivent actuellement avec le Président Samuel Eto’o.
FIFA Forward est conçu pour fournir un soutien intégral et sur mesure à chacune des associations membres de la FIFA et des six confédérations. C’est l’un des programmes de développement les plus importants dans le domaine du sport.
La participation du Cameroun à la Coupe du Monde Qatar 2022 qui démarre le 18 novembre prochain va être financée, grâce à un appui de l’Etat de près de 4 milliards FCfa. Mais surtout, par un prêt consenti par l’Etat à la Fédération camerounaise de football de 4,5 milliards FCfa. « Le président de la République a bien voulu notifier son très haut accord, relatif au financement à hauteur de la somme de FCfa 8.463.394.656 (huit milliards quatre cent soixante-trois millions trois cent quatre-vingt-quatorze mille six cent cinquante-six), dont FCfa 4.678.443.380 (quatre milliards six cent soixante-dix-huit quatre cent quarante-trois mille trois cent quatre-vingt) de quotepart de la Fécafoot, les dépenses liées à la préparation et la participation du Cameroun à la 22ème Coupe du Monde de la Fifa « Qatar 2022 », afin de palier au retard de la mise à disposition des ressources attendues de la Fifa », écrit et signe Louis Paul Motaze, le ministre des Finances, dans une correspondance adressée au président de la Fédération camerounaise de football à une date récente de fin octobre dernier.
La Fédération internationale de football association (Fifa) a annoncé le 11 octobre dernier, l’ouverture des inscriptions de son programme de répartition des bénéfices aux clubs ayant contribué au succès de la Coupe du monde de football 2022 prévue dès novembre prochain au Qatar. Adopté lors de l’édition 2010 jouée en Afrique du Sud, ledit programme avait été prorogé en 2015 pour couvrir les Coupes du monde de 2018 et 2022. Les équipes concernées pourront ainsi se répartir la pharamineuse somme de 209 millions de dollars US, soit un peu plus de 141,4 milliards de Fcfa. « Le montant sera versé dans le cadre du programme de répartition des bénéfices aux clubs ; Une indemnité sera versée en contrepartie de chaque journée passée par un joueur avec sa sélection, préparation incluse ; Pour la première fois, les clubs peuvent déposer leur demande en ligne, via le Panorama du football professionnel de la Fifa », a précisé l’instance faîtière du football mondial dans un communiqué de presse.
Les clubs des joueurs convoqués pour la compétition auront donc une occasion idoine pour renflouer leurs caisses, surtout que chaque jour passé par un joueur dans sa sélection nationale, du début de sa préparation officielle jusqu’au dernier match dans la compétition, rapportera à son club employeur 10.000 dollars US (6,7 millions de Fcfa). « Cette indemnisation concerne tous les clubs auprès desquels le joueur a évolué au cours des deux années précédant la compétition », précise encore la Fifa. Et cette dernière de rappeler qu’à l’occasion de la Coupe du monde 2018 organisée par la Russie, ce dispositif avait bénéficié à 416 clubs issus de 63 associations membres.
Malheureusement, comme c’était déjà le cas il y a quatre ans, ce programme ne profitera pas beaucoup aux clubs africains dont le continent comptera pourtant cinq représentants au Qatar (Cameroun, Ghana, Maroc, Sénégal, Tunisie). Et pour cause, à l’exception des pays d’Afrique du Nord, très peu de joueurs africains qui iront au Qatar évoluent dans les championnats de leurs pays. Le cas d’une Nation comme le Cameroun est encore plus patent. En effet, il est très peu probable que des joueurs évoluant dans une équipe locale camerounaise se retrouvent dans le groupe des Lions indomptables appelé à défendre les couleurs du Cameroun. Et pour preuve, tout au long de la campagne des éliminatoires, l’ossature de l’équipe était constituée à plus de 99% de footballeurs jouant soit en Europe pour la plupart, soit en Asie ou encore aux Etats-Unis.
Autre exemple, lors de la dernière Coupe d’Afrique des Nations (CAN) disputée au pays, aucun footballeur du championnat local ne figurait sur la liste des 28 joueurs. Avec plus des deux tiers issus des clubs européens (9 de France, 4 de Belgique, 2 d’Allemagne, 2 de Grèce, 2 d’Angleterre, 2 d’Italie, 1 de Suisse, 1 des Pays Bas et 1 autre de Russie), et le reste des Etats-Unis (2), l’Arabie (1) et la Chine (1).
En clair, ce sont des clubs d’autres pays déjà suffisamment nantis, qui profiteront de la participation des performances de nos footballeurs à la prochaine coupe du monde. Pourtant, les clubs camerounais qui vivent dans une morosité économique ont le plus besoin de ces financements. La faute à une mauvaise organisation qui clochardise les footballeurs locaux, obligeant ces derniers à s’expatrier pour poursuivre leur carrière en dehors du continent, dans l’espoir d’obtenir de meilleures conditions financières.