» Pourquoi vous êtes si fatalistes en pensant qu’on va perdre demain ? On n’y pense même pas. C’est loin de nous l’idée de perdre demain. On a besoin de renouer avec la victoire. La dernière c’était face au Maroc (avant le Coupe des confédérations, NDLR). On est tous des humains. Il y’a des moments où on est moins bien. Je n’ai pas peur des sifflets. Sérieusement ça n’a jamais fait du mal à personne. Le public camerounais est exigeant et veut voir son équipe bien jouer. Ça se comprend. Le football va trop vite. Aujourd’hui on est en bas, demain on est en haut. On a besoin de sortir de cette zone de turbulence. On a besoin que vous nous accompagniez aussi quand tout va mal. » A-t-il réagi.